Quand la mémoire commence à défaillir

Vu ce jour sur Twitter :

Michèle Wagner-Pradier reste décidément ma préférée des groupies de Florian Bachelier.

Elle me donne l’occasion de procéder à un petit rappel de quelques mesures prises lorsque son idole occupait les fonctions de questeur à l’Assemblée Nationale (liste non exhaustive) :

Pour mémoire (source : déontologue) :

7 commentaires

  • En entendant l’annonce des 300 ce matin, j’ai pensé à vous. Ils ne manquent pas d’air, ces députés. C’est le cuir des croquenots qu’on devrait leur facturer. Avec les clowneries de leurs débats.

  • MOUNIER Chantal

    Seule la France Insoumise s’est opposée à cette augmentation –

  • M. Deshayes

    Je n’ai pas les éléments pour juger de la pertinence ou non de la mesure mais j’observe que celle prise pour la rémunération des collaborateurs aura bientôt 6 ans d’âge.

    • Patrick Jehannin

      Voici 3 informations extraites de la fiche n° 7 intitulée « Situation matérielle du député » publiée sur le site de l’Assemblée Nationale à propos du « crédit collaborateurs » :

      – Sont imputées sur ce crédit les rémunérations brutes des collaborateurs (les charges patronales, sociales et fiscales, afférentes étant prises en charge directement par l’Assemblée nationale)

      Indépendamment des augmentations qui peuvent être décidées par le Collège des Questeurs, le crédit collaborateur est revalorisé comme les traitements de la fonction publique.

      En cas de dépassement du crédit collaborateur, le surplus des rémunérations brutes est imputable sur l’avance de frais de mandat (l’Assemblée nationale prenant par ailleurs en charge les cotisations patronales et les compléments non imputés sur le crédit collaborateur)

  • M. Deshayes

    La page est tournée en tout cas du financement de biens immobiliers par l’IRFM, grâce auquel le député pouvait – quelle que soit sa justification – accroître son patrimoine personnel.

Tous commentaires ici bienvenus de la part des personnes assumant leur identité