Aidons les Ukrainiens
Parce que je connais le sérieux de l’association humanitaire franco-moldave Vent d’Est qui est à l’origine de cet appel ainsi que de la Casa Providentie de Chișinău, je relaie ce message :
Nous recherchons pour cette petite famille, que nous soutenons, composée de trois adultes et un bébé, un logement en France. Il s’agirait de leur fournir un logement gratuit ou à bas prix, le temps qu’ils se relancent. Ils ont la volonté de travailler le plus vite possible. C’est le couple, la mère et un bébé. Lui est entraîneur de football. Ils ont tout laissé derrière eux.
Le voyage jusqu’en France est pris en charge.
Il faudrait les aider à s’inscrire aux différents organismes etc..
Cette famille est actuellement à Chișinău, l’Alliance française leur donne des cours de français gratuitement pour les préparer. Merci à eux !
Merci également à Casa Providentei qui les loge.
N’hésitez pas à nous contacter, merci pour eux.
Je viens de prendre connaissance d’un article fort intéressant du Télégramme, publié hier : https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes/guerre-en-ukraine-comment-l-aide-aux-refugies-s-organise-a-rennes-01-03-2022-12931141.php, dans lequel on lit que :
https://actu.fr/bretagne/rennes_35238/guerre-en-ukraine-voici-comment-aider-les-victimes-du-conflit-depuis-rennes_49057633.html
Merci beacoup pour ces renseignements et pour le message de soutien et de fraternité ainsi adressé au peuple ukrainien.
Je lis actuellement un roman de Catherine Bardon qui s’appelle les déracinés. C’est l’histoire d’un jeune couple qui doit fuir l’Autriche fin 1938, suite aux mesures antijuives et au climat de terreur qui s’est mis en place.
La deuxième partie du livre s’appelle « L’errance ».
Elle débute par cette citation de Stefan Zweig, tirée de Voyages :
» Regarde les donc bien ces apatrides, toi qui as la chance de savoir où sont ta maison et ton pays […]. Regarde les bien, ces déracinés, toi qui as la chance de savoir de quoi tu vis et pour qui, afin de comprendre avec humilité à quel point le hasard t’a favorisé par rapport aux autres. Regarde les bien, ces hommes entassés à l’arrière du bateau et va vers eux, parle-leur, car cette simple démarche, aller vers eux, est déjà une consolation. »
« Où que vous soyez nés, vous êtes nos sœurs, nos frères quelle que soit la langue que vous parlez, quelle que soit votre façon d’écrire, de dire, de chanter, de danser, de cuisiner. Nous sommes curieux et curieuses de vous. Vous ici, vous le reste du monde, où que vous soyez nés… où que vous soyez nés. » https://wp.me/p6EXHi-95z (clic)
Ma lettre du 4 mars 2022 au Président de la République (clic)