Plus bretillien, tu meurs

En vente dans toutes les bonnes laveries-teintureries du département.
Rien n'oblige à adopter ce qui n'est qu'une marque industrielle et commerciale

En vente dans toutes les bonnes laveries-teintureries du département.
Une remise de 2 gallécos est accordée sur présentation de la carte de pupille de la nation brétillienne.
Mourir pour la France en 1916 et découvrir qu’on était bretillien en 2016, grâce à Ouest-France, c’est possible.
Ils ont été nommés Brétilliens à titre posthume… Quelle fierté pour les familles !
Ici, tenez-vous bien : on peut être et avoir été… 😉
Il me semble plutôt qu’il s’agit d’être ou de ne pas être , et sans l’avoir été. 😉
Au fait, saviez-vous qu’à la préhistoire, nos ancêtres étaient déjà prébrétilliens ?…
Et bientôt, adieu Bretagne, vous serez des « Grand-Ouestiens ».
Le révisionnisme c’est comme la connerie, ça n’a pas de limite 🙂