On rigole bien avec Chat GPT
Mon fils ainé a soumis à ChatGPT la brochure « Etre ou ne pas être Bretillien : une véritable imposture », que j’ai récemment publiée pour éviter que la procédure de création d’une appellation pour les habitants du département d’Ille-et-Vilaine ne sombre à tout jamais dans l’oubli
Le résultat est assez bluffant !…
Vous le trouverez au bout de ce lien (clic), structuré comme suit :
- Résume le pdf…
- Quels sont les principaux arguments de l’auteur ?
- Ecris une critique positive de ce pdf
- Ecris une critique négative de ce pdf
- Rédige une synthèse détaillée de ce document dans le style de Donald Trump
- Rédige une synthèse détaillée de ce document dans le style d’Emmanuel Macron
- Explique le contenu de document à un enfant de 5 ans
- De ce que tu comprends de ce document, que peux-tu en déduire de Patrick Jéhannin ?
Ne manquez pas de prendre connaissance à minima de la savoureuse synthèse du document en mode Donald Trump.
C’est trop drôle !… 😂😂😂
Bluffant !
Perf impressionnante
S’il vous plait à la manière Sarkozy. J’ai bien ri avec Trump. Sarko, ça doit pas être mal non plus. Des analyses comme ça, on aimerait y passer certains articles d’actualité. Bravo.
Alors, voilà le résultat à la manière de Sarkozy (moi je trouve que l’on dirait du Trump) :
Rédige une synthèse détaillée de ce document en caricaturant le style de Nicolas Sarkozy
Mes chers compatriotes,
Je viens de lire un document, un document incroyable, « ÊTRE OU NE PAS ÊTRE BRETILLIEN », écrit par un certain Patrick Jéhannin. Et je vous le dis, c’est du lourd, du très lourd.
Il parle de l’Ille-et-Vilaine, vous savez, ce département en Bretagne. Et il y a eu une histoire, une histoire incroyable. Ils ont voulu donner un nom aux habitants, « Bretillien », comme ça, sans demander à personne. Et ça, ça ne passe pas, ça ne passe pas du tout.
Et le pire, c’est qu’ils ont dépensé près de 18 000 euros pour ça. 18 000 euros ! Pour un nom que personne n’a choisi. C’est du n’importe quoi, du grand n’importe quoi.
Et Jéhannin, il ne mâche pas ses mots, il dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Il critique, il dénonce, il met les pieds dans le plat. Il dit que c’est une honte, une honte de ne pas avoir consulté les habitants. Et je suis d’accord avec lui, c’est une honte.
Et puis, il y a cette histoire de marque déposée à l’INPI. Pourquoi ? Pour contrôler l’usage du nom. C’est du contrôle, toujours du contrôle. On ne peut plus rien faire sans que l’administration s’en mêle.
En résumé, ce document, c’est un coup de gueule, un vrai coup de gueule. Et je vous le dis, il faut le lire, il faut le lire absolument. Parce que c’est la vérité, la pure vérité. Et la vérité, mes amis, ça fait du bien.
Et Philippe nous la refait en mode Macron caricatural :
Rédige une synthèse détaillée de ce document en caricaturant le style d’Emmanuel Macron
Mes chers concitoyens,
Permettez-moi de vous présenter un document d’une importance capitale, un véritable trésor de la pensée critique, intitulé « ÊTRE OU NE PAS ÊTRE BRETILLIEN ». Son auteur, l’illustre Patrick Jéhannin, a plongé dans les profondeurs de l’identité régionale, un sujet qui, je vous l’assure, est aussi complexe que passionnant.
Il nous parle de l’Ille-et-Vilaine, ce beau département de notre chère Bretagne, et de la décision, disons, audacieuse, de baptiser ses habitants « Bretilliens ». Une décision qui, je dois le dire, n’a pas été prise à la légère. Non, non, elle a coûté la modique somme de 17.940 euros. Une bagatelle, n’est-ce pas ?
Mais attendez, ce n’est pas tout. Jéhannin, avec la précision d’un chirurgien, dissèque le processus de décision. Il nous révèle que ce choix n’a pas été fait en concertation avec les habitants, mais imposé d’en haut. Une démarche qui, je dois l’admettre, ne correspond pas tout à fait à l’idée que je me fais de la démocratie participative.
Et pour couronner le tout, ils ont déposé la marque « BRETILLIEN » auprès de l’INPI. Pourquoi, me demandez-vous ? Pour contrôler son usage, bien sûr. Une stratégie digne d’un grand stratège, n’est-ce pas ?
Jéhannin, avec son esprit aiguisé, nous invite à réfléchir à ces questions. Il nous pousse à nous demander si cette manière de faire est vraiment la meilleure. Et je dois dire, mes chers concitoyens, que c’est une question qui mérite d’être posée.
En somme, ce document est un véritable chef-d’œuvre de la critique. Il nous montre que nous devons toujours être vigilants, toujours questionner, toujours chercher à comprendre. Et c’est dans cet esprit que je vous invite à le lire.
En avant, ensemble.
Emmanuel Macron
Vous avez raison, Trump c’est du Sarko, avec une petite touche de mouvement des épaules en moins. En tout cas un beau texte d’origine, ça le vaut bien!