Sous couvert d’anonymat

J’ai récemment *révélé* la contribution (clic) de la compagne de Florian Bachelier (*) à l’actualisation du site https://www.florianbachelier.fr

Un proche militant a souhaité s’exprimer ici-même à ce sujet, ce jour,  par voie de commentaire.

C’est parfaitement son droit, mais je l’invite à respecter ma ligne éditoriale qu’il ne peut ignorer :

tous les commentaires sont ici bienvenus de la part des personnes assumant leur identité

Par conséquent, je ne saurais approuver une contribution émanant d’un utilisateur qui se dote d’une adresse de courriel bidon et qui se rend de surcroît coupable d’une usurpation d’identité… d’autant qu’en l’espèce il s’agit de la mienne.

N’ayant rien à cacher, je m’offre toutefois le luxe d’en publier ci-dessous une copie d’écran…    😉

J’invite simplement ce courageux contributeur à relire l’article du Télégramme du 11 octobre 2018 intitulé : « Rennes. Trolling, fake news… La guerre des réseaux fait rage entre le PS et LREM ».

Et je lui précise qu’ici, on ne mange pas de ce pain là.

(*) député de la 8ème circonscription d’Ille-et-Vilaine, premier questeur de l’Assemblée nationale

5 commentaires

  • Eh bin, minable, comme d’hab !
    Mais le pauvre – ou la pauvre – s’est quand même bien donné du mal pour en faire…
    A posteriori, ce n’est même pas du spam de « bot » comme ça arrive souvent avec WP : il y a un rudiment d’expression malgré un niveau d’écriture digne d’un élève de 6ème (pas de signe diacritique en tout cas)…
    Courage ! 😉

  • Michel Deshayes

    Certains n’ont pas compris combien il est risqué d’adresser des commentaires anonymes à l’auteur de ce blog !

  • Michel Deshayes

    Le Télégramme a souvent des articles intéressants. J’ai le sentiment qu’on en apprend plus sur la vie rennaise que par Ouest-France

    • Ah, oui alors !!!… C’est très net.

      Vu que par tradition la maisonnée est abonnée à O-F depuis une cinquantaine d’années, je n’ai pas basculé vers le Télégramme comme je devrais logiquement le faire.

      Mais, chaque fois que j’identifie un article intéressant, j’achète le numéro à l’unité sur internet (1,10 €).

      Ça me donne accès à l’ensemble des archives du Télégramme pendant 24 heures… et je me régale !…

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