Où en est-on à Pleudihen ?…
Vous souvenez-vous du docteur Françoise Van Dien, médecin homéopathe et conseillère municipale de Pleudihen-sur Rance, qui refuse de se faire vacciner contre le covid ?…
Il y a bientôt 4 mois, la presse s’était faite écho de manifestations de soutien en sa faveur et j’avais moi-même publié ici à ce sujet le 26 octobre dernier.
Le docteur Van Dien affirmait avoir été suspendue par l’Agence régionale de santé en même temps qu’elle déclarait : « Tant que je ne pars pas en garde à vue entre deux gendarmes, je ne vois pas ce que ça veut dire être réputée suspendue ».
J’ai appris hier soir sur le site du quotidien Ouest-France qu’en réalité, le docteur Van Dien – qui n’aurait pas été suspendue – continue d’exercer sans être vaccinée… mais qu’elle serait (de nouveau) convoquée par l’ordre des médecins à Saint Brieuc ce mercredi 16 février à 17h30.
Son comité de soutien serait de la partie.
Au regard des enjeux de santé publique, je considère que nous avons le droit de savoir précisément de quoi est faite cette affaire au regard des procédures instituées par la loi.
J’espère que chacune des instances concernées, à tout le moins la Caisse d’assurance maladie, l’Agence régionale de santé et le Conseil de l’ordre, feront cette fois-ci preuve à notre égard de plus de transparence et de clarté que par le passé.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-brieuc-22000/video-saint-brieuc-pres-de-150-personnes-pour-soutenir-une-medecin-pas-vaccinee-menacee-de-suspension-8e9a6fe4-a044-402d-b0eb-ac8f6bd6721a
Mais tout cela ne nous renseigne absolument pas sur le fond…
BRAVO à cette résistante ! ! ce paSS de maideux est une escroquerie et une atteinte aux Libertés .Bientôt des sanctions pour eugénisme ….
« »La Cour pénale internationale (CPI, dit tribunal de La Haye) aurait jugé recevable une plainte – en réalité une communication, c’est-à-dire un signalement de suspicion de crime de droit international, dont la CPI peut se saisir – pour « violation du code de Nuremberg par le gouvernement israélien ». Signée des avocats israéliens Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski, elle estime que la vaccination de masse avec le vaccin de Pfizer-BioNtech relève d’une « expérience médicale », qui outrepasse « le consentement éclairé » des citoyens, deux piliers du code de Nuremberg, et réclame un « arrêt immédiat » de son utilisation. » »
Bonne soirée ,
Je ne comprends pas ce genre de position pour au moins trois raisons :
Nous sommes un certain nombre à nous être inquiétés de la pertinence du vaccin/Covid À PARTIR DU MOMENT OÙ LE GOUVERNEMENT A INTERDIT AUX MÉDECINS DE SOIGNER LEURS PATIENTS avec les médicaments à leur disposition et qui administrés dès les premiers symptômes pouvaient nous guérir. Les malades soignés par ordre du gouvernement : doliprane et confinement atterrissaient trop tard dans les hôpitaux, donc avec un pic de mortalité les premiers jours. Tout le monde s’est affolé. Ce qui a empêché tout le monde de réfléchir posément. On voit bien que les soi-disant vaccins ne protègent pas de la contagion ni même de la récidive. Il reste à penser qu’ils atténuent la gravité de la maladie. Tout le monde s’est fait pièger par la peur, cette très mauvaise conseillère très habituelle pourtant . Colette Trublet.
Bonjour Madame Crublet,
J’espère que vous ne m’en voudrez pas de ma franchise.
Je dois vous dire que je ne partage pas votre opinion.
Je me demande d’ailleurs comment vous pouvez vous rallier à un point de vue aussi sommaire et d’après moi aussi franchement erroné.
Peut-être que, sur le papier au moins, j’ai l’avantage d’avoir exercé toute ma vie dans le monde de la santé et de ne pas ignorer tout-à-fait les procédures d’autorisation de mise sur le marché des médicaments (AMM), d’autorisation temporaire d’utilisation (ATU), de recommandation temporaire d’utilisation (RTU), d’autorisation d’accès précoce (AAP) ou bien d’autorisation d’accès compassionnel nominative (AAC) ou bien encore de prescription compassionnelle (CPC)… sans compter les règles d’extension de ces autorisations et recommandations, ni les règles de dérogations à ces autorisations et recommandations auxquelles s’attachent avec compétence les membres de la Haute autorité de santé (HAS) comme ceux de l’Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), avant que ne soient prises des décisions à caractère réglementaire qui ne sont d’ailleurs pas forcément les mêmes à l’égard des professionnels exerçant en cabinet ou en établissement.
Pardonnez-moi de mettre en doute le fait que vous soyez bien informée de ces questions et de craindre simultanément votre crédulité.
On peut certes se faire piéger par la peur, mais on peut aussi se faire piéger par des croyances sans réel fondement scientifique, voire sans véritable fondement rationnel.
Soyez toutefois assurée que je ne vous conteste pas ce que je considère, pardonnez-moi encore, comme étant votre droit à l’erreur.
Cordialement
TOUT à fait d’ accord .
Avec Colette ! !