Ne me pique pas, ne me pique pas, ne me pique pas…
Un petit coup d’œil sur l’excellent site covidtracker.fr :
La question qui pointe est celle de la vaccination obligatoire.
De mon point de vue, il va bien falloir y venir si chacun ne se fait pas un devoir pour lui-même et pour autrui de se faire vacciner dans les meilleurs délais.
Sauf bien évidemment (rare) contre-indication médicale avérée.
Car je ne comprends pas, et je vais finir par ne plus admettre, que l’on puisse revendiquer la liberté de contracter une maladie contagieuse.
Il n’y a pas si longtemps la faculté disait qu’il fallait éviter la vaccination pendant les épidémies et pandémies pour éviter les variants, parce que, semble-t-il, les virus qui trouvent la porte fermée (par le vaccin) rentrent par la fenêtre en variant leurs compétences. Ces petites choses-là sont vivaces !
De plus La mortalité due au virus est à peine plus élevée que pour des grippes ordinaires, disent les statistiques, pas les infos, qui ne nous parlent guère que de ce qui va très mal et jamais de ce qui se passe en réalité. (56% du temps d’info/télé au sujet du covid) Ils généralisent toujours du côté du pire, ça fait plus d’audience. Nous sommes intoxiqués. Si j’en crois d’autres infos non officielles (complotistes? Et si c’était celui qui le dit qui l’est?) les décès sont surtout dus à des fragilités qui s’ajoutent à la maladie quand elle est contractée.
Après Il faut bien faire avec tout ça !
Et il faudrait commencer par se demander si la guerre bactériologique ne va pas se mettre à remplacer la guerre alimentée par l’industrie de l’armement ! Laquelle rapporte le plus à la finance mondiale? C’est vertigineux cette question !
Si des révoltes grondent comme en ce moment un peu partout dans le monde, il va falloir mobiliser notre intelligence collective pour lutter contre la peur et la violence toutes deux très très mauvaises conseillères. Réfléchissons dans le calme. Il est urgent de réfléchir et de trouver des solutions au quotidien et dans la proximité, entre autonomie et solidarité, pour calmer les esprits et attendre que des solutions montrent le bout de leur nez.
Il existe partout de nombreuses petites expériences d’entraide partout pas loin de chacun de nous. Elles sont utiles et réconfortantes. Ça nous change des blablablas et flonflonstéléguidés.
COURAGE !
Bonjour et merci pour cette contribution.
De mon côté, je ne sens pas « intoxiqué » parce que je ne regarde pratiquement pas la télévision et je ne butine sur les réseaux sociaux que pour prendre la température.
En pratique, je ne m’intéresse vraiment pas beaucoup aux analyses des pseudo-experts qui pullulent dans toutes sortes de médias et jusque sur la toile.
J’ai encore moins envie d’agréger des sujets que je reconnais toutefois possiblement liés.
Peut-être est-ce par excès d’humilité, mais je préfère de très loin me fier aux conclusions des autorités sanitaires compétentes et aux décisions démocratiquement adoptées sur ces bases.
Au stade où nous en sommes, j’ai beau avoir lu pas mal de choses, je n’ai pas la prétention de pouvoir comparer la mortalité, la morbidité, la létalité apparente, ou encore la létalité réelle de la grippe saisonnière et du coronavirus.
Mais j’ai quelques certitudes sur la balance bénéfice-risque de la vaccination, au plan individuel comme au plan collectif que je ne sais pas dissocier.
Je profite de cette contribution pour mettre en ligne un extrait « qui me parle » d’une interview du Professeur Matthieu Revest (clic), réalisée le 9 juillet 2021 au Pôle de formation des professionnels de santé du CHU de Rennes, le vendredi précédant l’allocution du Président Emmanuel Macron le lundi 12 juillet 2021.
Et pour détendre l’atmosphère, je ne résiste pas au plaisir de publier ce petit dessin :