Sans que cela nous coûte ?…

J’en ai déjà parlé dans ma précédente contribution, mais je ne me lasse pas de l’article d’apparence anodine qui a été publié hier matin dans l’édition Rennes Métropole du quotidien Ouest-France, à propos de la pseudo monnaie brétilienne.

Voici un autre extrait :

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Notre « développeur commercial » aurait-il oublié que la seule expérimentation du galléco aura coûté environ 500.000 euros aux contribuables du département ?

Car – au-delà de la subvention affichée de 339.500 euros – il faut bien inclure les frais d’une table ronde, l’impression des premiers coupons, l’achat d’une machine qui devait les sécuriser mais qui n’a jamais servi, la constitution et la diffusion d’un dossier de presse, les frais d’organisation d’une rencontre nationale, le recrutement d’un stagiaire au département pour cela, la valorisation de nombreuses contributions volontaires en nature comme la participation des fonctionnaires territoriaux notamment au plan de l’expertise juridique, l’abandon d’intérêts sur une avance de 40.000 euros pour 3 ans, l’hébergement de l’association Galléco dans la « maison de l’économie sociale et solidaire »… sans compter par exemple la contribution au financement d’un « dispositif local d’accompagnement » de l’association Galléco via la subvention par ailleurs consentie à l’association Réso solidaire, et – cerise sur le gâteau – le coût de l’évaluation de l’expérimentation qui n’avait pas été prévu.

Et je n’ai pas la prétention d’être exhaustif.

J’ai hâte de pouvoir rapporter tous ces frais au chiffre d’affaires en gallécos dont on attend le montant avec impatience et surtout à la très hypothétique plus-value de l’opération lorsque l’on voudra bien nous la révéler.

Pour aller plus loin : ma contribution à l’évaluation du galléco

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