Et pourquoi pas Brheutiliens, alors ?…
Où l’on voit que l’on peut être indifféremment affublés de divers noms d’oiseaux
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)
Il faut croire que dans le sport, il y a toujours un petit côté aléatoire. 😉
Merci à notre honorable correspondant (vous aurez reconnu Daniel Martin), dont j’invite à lire le commentaire ci-dessous : il n’y a rien à jeter !…
Tous les passionnés de grammaire et d’orthographe ont un livre de référence, un bréviaire, une Bible : LE BON USAGE de ce cher Maurice Grévisse, un Belge, passionné de langue française.
Notre cher Maurice indique d’abord la règle ou la norme et la bonne orthographe; puis il cite d’éventuelles exceptions ou orthographes différentes en s’appuyant sur des auteurs « incontestables » : Flaubert, George Sand, Mérimée etc…
Devant la multiplicité des façons d’orthographier le gentilé « choisi et imposé » par MM Delanoé et Tourenne, il ne reste plus à ceux-ci qui ont récupéré même les Poilus de 14 pour les affubler de ce nom ou de cet adjectif, qu’à trouver dans la littérature du début du XXème siècle des exemples d’emploi du terme, si possible avec des orthographes différentes, ce qui leur donnerait une consécration incontestable.
Je leur conseille de rechercher dans Proust, Anatole France, Maurice Genevoix, Romain Rolland, à la limite bien qu’un peu plus tardif Louis Ferdinand Céline… Je me contenterai d’un auteur moins connu… et s’ils trouvent cet exemple, je m’incline !