Ne pas voir le mal partout
Pour essayer de calmer la contestation, J-L Tourenne a écrit le 19-07-2013 :
« Il n’y aura pas non plus de « dispositions » destinées à « inculquer » ce gentilé de gré ou de force dans la tête de nos concitoyens. »
La preuve :
Voyons voir la traduction quelques semaines plus tard par le titulaire du marché :
Apposer des affichettes dans les écoles, coller des stickers sur les cartables des gamins, couvrir d’un slogan bien senti les tenues de travail du personnel… non, non : on vous le jure, ça n’a rien à voir avec « des « dispositions » destinées à « inculquer » ce gentilé de gré ou de force dans la tête de nos concitoyens. »
C’est juste pour rigoler !…
Tous les jours, je lis les articles de ce blog et tous les jours, je peux constater que le responsable du blog relève encore et encore des éléments à charge à ajouter dans ce dossier fumeux.
Quels arguments faut-il développer pour obtenir gain de cause lorsque les fautifs (oui, il y a eu faute) sont juges et parties et font semblant de ne pas être concernés ?
Pourtant notre blogueur détient un avantage dialectique certain devant l’absence de réaction appropriée de la part de JLT. Cet avantage tient au fait que l’adversaire n’a aucune défense valable à présenter. De plus, se sachant dans une position fâcheuse et espérant que l’opposition se tarira d’elle-même, JLT veut éviter une polémique qui desservirait sa cause si elle devenait plus audible et médiatisée comme il le faut.
Parfois on se demande si les médias font bien leur boulot…