Le Jarl n’a jamais été qu’un imposteur et il le reste

Le CNAPS est l’autorité qui est chargée auprès du Ministère de l’Intérieur de l’application de la réglementation en matière d’activités de sécurité privée.

Geneviève Biscaro, qui est la directrice de cabinet du CNAPS, vient de déclarer au Télégramme que le contrôle administratif du « 1988 Live Club » – qui a été précédemment annoncé – n’interviendra qu’à la réouverture de l’établissement (fermé pour un mois par décision administrative du 21 mars 2025).

Ce qui suppose accessoirement qu’il rouvre.

Mais elle a aussi précisé dès à présent que le chef du service de sécurité qui a été écarté (Yovan Delourme, alias Le Jarl Berserker ou plus couramment Le Jarl) ne détenait pas l’autorisation d’exercer une activité de sécurité privée, laquelle est réglementée par le livre VI du code de sécurité intérieure.

Pour sa défense, j’entends déjà le Jarl soutenir – dans son merveilleux délire mythomane qui me laisse parfois pantois – que le chef du service de sécurité d’un établissement n’est pas nécessairement un agent de sécurité !…

D’ailleurs, on ne peut même pas vérifier sur ses vidéos quelle tenue il porte sous son petit chandail !…

On n’a pas fini de rigoler.

En attendant, j’aimerais bien y voir un peu plus clair sur les responsabilités du gérant : Sébastien Bétin, mais aussi de la personne que Le Jarl a présentée comme étant la directrice d’exploitation de l’établissement : en l’occurrence : sa femme (et je vous prie de m’en excuser si ça peut choquer).

Et puis, de toutes façons, je pense que ça n’interdit pas d’épingler les contributions du candidat parachuté par « la droite » (je simplifie) en vue des prochaines élections municipales.

Il s’agit de Thomas Rousseau, qui a déclaré sa flamme pour Le Jarl à 10 reprises au moins ces 5 derniers mois (29 octobre, 2 novembre, 5 novembre, 16 novembre, 5 décembre 2024, 6 janvier, 13 mars, 19 mars, 30 mars 2025):

Il est sérieux, là ?…