Un peu trop d’excès de zèle ?…
Soucieux de ré-affirmer sa fidélité au galléco, quoi qu’on en dise, qu’on se le dise (nom d’une pipe), le Département d’Ille-et-Vilaine a (re)publié sur son site internet le 21 novembre 2016 – soit très exactement la veille de la tenue du délicat Conseil des collèges de l’association Galléco dont il est membre de droit – un article malheureusement largement périmé à bien des égards.
Mais le plus décoiffant est de l’avoir illustré d’une photo d’un des premiers prestataires du réseau agréé pour l’éthique de ses pratiques, se présentant comme ingénieur des mines, candidat aux élections régionales de 2010, municipales de 2012 et départementales de 2015, poète et « d’abord » coach de vie et d’entreprise, certifié par « l’Institut de coaching international en Corporate & Life coaching », coach psycho-spirituel formé à la sexologie et auto-formé au tantra, mais aussi par exemple comme étant conseil en « kink gay » (oups), psychopraticien (une appellation à ne surtout pas confondre avec psychothérapeute, qui est au contraire un titre permettant l’exercice d’une profession réglementée), druide certifié par « The Order of Bards Ovates and Druids », fondateur et directeur du « Centre de mystique chrétienne » , ainsi que comme étant notamment conseil en création de site internet « low-cost ».
Mais, au fond, c’était peut-être confusément en guise d’hommage, puisque cet adhérent prestataire – qui figure également toujours en bonne place dans les annuaires et dans les cartes de géolocalisation actuellement diffusés par l’association Galléco – était brutalement décédé 6 semaines plus tôt.
Paix à son âme.
Pour aller plus loin : ma contribution à l’évaluation du galléco
Trop d’excès , c’est plus qu’assez, c’est même excessif, et, de plus, cela nuit aux excès.
En somme, si je comprends bien : trop c’est trop. 😉
J’espère qu’il n’est pas mort d’avoir trop consommé du galléco, « à forte valeur ajoutée », le pauvre…