Dans l’enfer de Verdun

A propos d’un ouvrage présenté comme « l’histoire d’un poilu bretillien » qu’il venait de publier à compte d’auteur aux éditions Ouest-France, Eric Chopin m’écrivait les 14 janvier, 8 février et 17 mai 2014 :

« A aucun moment, dans mon livre, je n’utilise ce terme bretilien qui, par ailleurs, pour moi, n’a ‘ni queue ni tête’ » … « J’ai toujours pensé que cette histoire de brétilien ne tenait pas debout. Et voici mon cher poilu qualifié de brétilien!!! » … « Julien Chopin doit se retourner dans sa tombe avec ce curieux terme, bien anachronique, je suis d’accord. » … « Je vous répète enfin que je n’ai jamais utilisé le terme brétilien. Vous accolez cette polémique à mon travail et je trouve ça particulièrement navrant. » … « Personnellement, je n’ai jamais utilisé cette expression concernant mes articles ou mon livre sur la guerre 14-18. Je n’y suis pour rien. »

Mais c’est pourtant bien le même journaliste « localier » qui vient de signer ce 20 février 2016, en page « Bretagne / Ille-et-Vilaine » du quotidien Ouest-France, un article intitulé :

dans-l'enfer-de-Verdun

Ce coup là, il y a dû y en avoir un sacré paquet de poilus à se retourner dans leur tombe !… 🙁

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Kerbriant
Kerbriant
29 mars 2016 13 01 03 03033

Oui, la plupart voulaient aller à la Ker (à la maison) et les recruteurs comprenaient à la guerre ….