On nous serine n’importe quoi
Alors… voilà maintenant que des personnes très âgées, qui sont évidemment de très respectables grands témoins de la grande guerre : ça ne se discute pas, interprèteraient pour nous des « chansonniers bretilliens » (vous avez bien lu).
Merci Ouest-France, mais c’est évidemment de la pure affabulation.
Aucun de ces auteurs, compositeurs et parfois interprètes n’a jamais vécu en Ille-et-Vilaine, mais quand on commence à ré-écrire l’histoire… on peut évidemment tout se permettre, et je ne conteste en rien la liberté de la presse.
J’invite simplement à ré-écouter certains de leurs grands succès, comme par exemple : Les roses blanches, Félicie aussi, Nuits de Chine et tant d’autres…
Et pour aller plus loin :
– Un bretillien, ça va… mais ?…
– Tous aux boîtes aux lettres !…
– Un peu de respect pour le passé
– De la bretillienne attitude…
PS : n’oubliez pas non plus de relire régulièrement Jean de Legge ici ou ailleurs.
je ne comprends pas comment on peut en arriver à de telles dérives, tout en continuant de se référer d’idéaux aussi élevés que ceux mis en exergue en-tête des journaux qu’imprime Ouest-France
De deux choses l’une: ou Ouest-France ment, ou l’auteur de la publicité (on ne donne pas le nom d’article à un texte pareil) ne connait pas le français. Un chansonnier est un auteur de chansons (humoristiques, qui plus est). Aucun des interprètes enregistrés par OF n’est auteur. OF cherche à vendre le terme « bretillien » en le mettant à toutes les sauces (comme les sucriers et producteurs d’huile de palme dans la malbouffe) et à nous faire prendre des vessies pour des lanternes.