6 commentaires

  • Michel Deshayes

    MDR… A leur retour au pays, elles ont toutes échoué à Recife paraît-il

  • LANG-BRINGER Anne

    My God !! Il est vrai que le mot « brétilliennes » n’est pas déposé !! Bah, un t ou un s… c’est pareil !
    Et c’est ainsi que ma fille s’est retrouvée en « ethnologie », alors qu’elle voulait étudier l’éthologie, par la faute d’une préposée de la fac qui ignorait cette discipline !!

  • Mes amis moldaves auraient sûrement écrit ça Brețilienne avec un « e » qui se prononce toujours « é » et pour le « t » une virgule souscrite qui se prononce « ts » comme dans tsigane…

    Comme ça tout le monde aurait été content. 😉

    Coup de bol que ta fille n’ait pas voulu étudier la théologie, ils l’auraient probablement dirigée en technologie… 😉

  • MARTIN

    J’admire vos commentaires très linguistiques d’autant que parmi les propositions initiales de gentilé sur lesquelles, parait-il, les lecteurs de OF avaient voté, il y avait le « néologisme » breizhillien !… qui n’avait pas été retenu justement par crainte de la confusion phonétique. Que le journaliste d’OF ait confondu brésillien et breizhillien, c’est sans doute dû au fait que, soit il est bilingue (breton/français), soit il a voulu utiliser un moins grand nombre de caractères car le souci des journalistes est, comme le disait le directeur de la rédaction d’Ille et Vilaine, d’être le plus bref possible. C’est pourquoi, il avait tant applaudi au choix de ce gentilé que même ses journalistes pourtant sont incapables d’utiliser tant sur le plan orthographique que sur le plan sémantique. Imaginez le dilemme du journaliste sportif qui, devant rendre compte d’une joute sportive entre 2 clubs d’Ille et Vilaine, ne sait pas à quels joueurs il doit attribuer le qualificatif de « bretillien » et donc qui se mélange allègrement les pinceaux.
    En cette période de « fausses nouvelles », j’aurais tendance à suggérer qu’il y a derrière cette dérive de brétillienne à brésillienne, une manoeuvre des fascistes type Balsonaro!!!

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