Dans l’entourage du Jarl, on est courageux… mais pas téméraire
Je ne vois pas comment qui que ce soit pourrait contester que l’éditeur du dernier ouvrage intitulé « Ça va mal finir » puisse prétendre avoir « pour vocation principale de publier des récits militaires *non fiction* : témoignages, biographies, documents, etc. » puisque c’est lui qui le dit.
Par contre, j’affirme que les mentions légales qui figurent au pied du site internet des « Editions NIMROD », qui stipulent que « Nimrod est une SARL de droit français », sont clairement mensongères puisque cette société d’édition n’existe pas.
« Les Editions Nimrod » ne sont qu’une marque verbale déposée auprès de l’INPI et largement expirée.
L’ouvrage attribué (plutôt plus que moins) à Yovan Delourme alias Le Jarl, du fait de sa contribution à son écriture, a été en réalité rédigé par Jean-Luc Riva et est édité par la SARL « Movie Planet ».
Ça me fait tout drôle de constater que François de Saint-Exupéry qui détient 99 % des actions de la SARL « Movie Planet », qu’il a créée, s’est débarrassé depuis bien longtemps des responsabilités qui devraient être logiquement les siennes en prenant soin de les céder à son entourage (ascendant, puis descendant) en ne lui concédant pourtant qu’1 % des actions !… Je parle de Martine de Saint-Exupéry (née en 1938) et d’Oriane de Saint-Exupéry (née en 2001) après le décès de la première.
J’ajoute que, quand on s’interroge sur les risques qu’il y a pour un éditeur à promouvoir des ouvrages risquant d’être considérés comme des incitations à la haine, à la violence ou à la discrimination (susceptibles d’être punies d’une amende et/ou d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 10 ans), on comprend que – tout bien réfléchi – ce n’est pas hasard que l’ouvrage intitulé « Ça va mal finir » ne soit pas en vente sur le site de son éditeur qui doit considérer avoir pris suffisamment de risques comme cela.