Que du bonheur

Ça a été – évidemment – beaucoup trop court, mais quelle bonne surprise et quel bonheur de voir aujourd’hui Dorin et Daniela, que Maria a eu la bonne idée de conduire à la maison cet après-midi !… Ils sont lumineux.

Chisinau, Timisoara, Budapest, Vienne, Paris… Bécherel : depuis une quinzaine d’années que je l’emprunte, je connais assez bien et j’aime énormément le chemin qui vient de les amener jusque par ici… par le « plancher des vaches » comme je dis toujours, celui par lequel on comprend tout simplement que les voisins de nos voisins sont nos voisins.

Infiniment merci à eux d’avoir si gentiment pris le temps de la rencontre et d’avoir pris la pose devant ce petit bout de terre que Rodica (leur cousine et notre amie aussi) a façonné de ses mains dans notre jardin, il y a déjà quelques années.

Comme on le voit, il y a poussé cette année un beau plant de tomates que Maria a sauvé de justesse et que, depuis, j’ai amoureusement arrosé chaque jour !…   😉

La Moldavie m’a manqué cette année, mais la maison regorge en ce moment de ces petites attentions des uns et des autres : de la cosulet de prune (prononcer : cosoulaitssses cou prouné – miam miam) aux superbes pommes du jardin de là-bas (que je n’ose même pas toucher), en passant par les DoReMi de la Bucuria, qui est « la » fabrique de petites gâteries (pilier de la Moldavie), ou encore par les Napolitane au citron dont Dinu raffole (et nous aussi : coucou Dinu).

Au fait, après les mariés de l’an passé, verrons-nous prochainement par ici les mariés de cette année ?… (coucou Ana-Maria et Alexandru)  😉

Et puis, dites… les jeunes, on attend aussi vos parents… des deux côtés bien sûr : les « cuscru » que vous prononcez couscrou !… une expression que j’aime, mais qui n’existe pas dans notre langue, qui ne relie pas autant les familles.   😉

 

 

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