L’imposture bretillienne
Voici une version complète et actualisée de l’imposture bretillienne.
Toutes observations bienvenues à l’adresse : patrick.jehannin@gmail.com
Rien n'oblige à adopter ce qui n'est qu'une marque industrielle et commerciale
Voici une version complète et actualisée de l’imposture bretillienne.
Toutes observations bienvenues à l’adresse : patrick.jehannin@gmail.com
Et pan sur le bec comme dirait le canard ! tant d’arrangements entre soi, pour ne pas dire plus, pour une dépense à minima de 250 000 €, sans compter la mobilisation des fonctionnaires, et les frais induits de publicité, restaurant, voyages, buffets et autres festivités pour satisfaire la vanité de M. Tourenne… c’est quand même cher payé.
Peut-on extrapoler ? si tout se passe comme vous le résumez si brillamment pour ce « gentilé », qu’en est-il des sujets et des budgets plus importants du département ? mêmes pratiques, méthodes et tours de passe-passe ?
Si nous sommes dans une République bananière c’est probablement à cause du réchauffement climatique. Je n’arrête pas de perdre mes illusions concernant la démocratie.
Même punition, même motif : depuis que j’ai le temps de regarder le fonctionnement de l’échelon départemental d’un peu plus près, je suis vraiment surpris de ce que je découvre.
Je ne dis pas que tout est mal, mais je vois bien que le ver est dans le fruit.
Par contre, dans le cas d’espèce, je n’ai pas conscience d’un coût de 250.000 euros.
L’aurais-je malgré moi suggéré ?…
D’abord les départements sont une création arbitraire qui ne correspond en rien aux Pays Bretons (Trégor, Léon hag all) mais pourquoi brétillien ? Breizhillien avait un minimum de sens linguistique, mais là… Ridicule! Très cher en plus…
Quand aux Côtes d’Armor, il a fallu que Fañch Mitt lui-même donne le feu vert et ça a été fait tout de suite, alors que c’était demandé depuis des années
Tout étant relatif, je ne dirais pas que ça a couté très cher (17.940 euros TTC si mes souvenirs sont bons)… mais c’est en effet, de mon point de vue également, la création arbitraire d’un sobriquet que le Département continue à vouloir inculquer de force (par exemple, 32 fois cité dans les décisions parues au recueil des actes administratifs issues de la session de janvier 2016, dont 25 fois dans le rapport d’orientations budgétaires, dont 3 fois en 13 lignes de la page 13 : faut que ça rentre)
Je constate, ce 12 avril 2017, que ce sobriquet est utilisé 30 fois sur la même page du site du département d’Ille-et-Vilaine.
Faut que ça rentre !…
Il faut croire que ça fonctionne… Venant de Paris, mariée à un Fougerais depuis peu, j’ai appelé mon association « BretiWoman », laquelle propose des ateliers de développement personnel, professionnel et relationnel à des Bretilliennes (dont le nom n’est pas déposé si j’ai bien suivi vos articles ! Ah ah on nage bien en Bretagne !! 😉
Avez-vous réfléchi aux conséquences du Brexit ?… 😉
PS : j’imagine que vous acceptez le galléco. 😉