Chauffe… Marcel

Nous savions que sous les plumes du directeur départemental et du spécialiste des questions militaires et religieuses du quotidien Ouest-France, les poilus, les chauffeurs de taxis, les chansonniers, et tous leurs contemporains étaient déjà clairement estampillés bretilliens au moment de la Grande Guerre :

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Mais voilà qu’ils signent ensemble aujourd’hui toute une page départementale, consacrée cette fois-ci à la seconde guerre mondiale, qui prouve sans conteste que nos valeureux ancêtres ont très fidèlement transmis le titre à leurs enfants, lesquels l’ont religieusement porté au cours de la seconde guerre mondiale (« fier d’être Bretillien », comme on dit au Conseil général) :

Marcel-Callo

Marcel Callo n’était pas le seul dans son cas, la preuve :

résistants

C’est ce qui fait que j’en viens à me demander si, avec le temps, le directeur départemental du quotidien Ouest-france (qui a été autrefois pigiste pour les journaux de collectivités locales où – je le cite – il a mis en œuvre un travail « orienté mais finement »), n’aurait pas perdu un peu de sa subtilité.

Et pour rester dans le même registre, en mémoire du bienheureux Marcel et en l’honneur de certains journalistes de la presse écrite qui font un travail très souvent très difficile, je vous invite à méditer un grand classique qui me paraît parfaitement illustrer a situation (1’09) :

Tous commentaires ici bienvenus de la part des personnes assumant leur identité